Retour sur la rando du 14 mars 2023

GR75 Tour de Paris – Partie ouest

Les participants à cette rando se souviendront longtemps de la matinée du 14 mars 2023.

Déjà la ligne de métro N°8 a eu de gros problèmes techniques. Plusieurs randonneurs sont restés longtemps sur le quai à Opéra avant de pouvoir partir. D’autres ont choisi la ligne 10 et la station Javel dans l’espoir de rejoindre le groupe.

La composition du groupe a fluctué au fur et à mesure de la densité des averses : 16 au départ, moins 1, moins 4, puis enfin plus 4.

Dès le départ de Balard, la pluie s’est mise de la partie, mais pas une petite pluie, une très grosse giboulée de mars.

Le moral en a déjà pris un coup. Cela ne s’est pas arrangé lorsqu’on a découvert que le premier parc était fermé pour cause de vent fort.

Nous empruntons donc les rues autour du parc Eugénie Djendi et André Citroën. La pluie reprend et une personne nous quitte à la station de RER toute proche.

Nous approchons du pont du Garigliano que nous devons traverser.

Mais là une deuxième giboulée de pluie battante et très venteuse nous oblige à nous réfugier sous un abribus.

Et là c’en est trop pour 4 autres personnes qui préfèrent abandonner et retourner au chaud à la maison.

Ne pouvant rester éternellement sous l’abribus, et la pluie ayant baissé d’intensité, nous traversons le pont du Garigliano et retrouvons nos quatre amis arrivés par le métro Javel.

Nous descendons les escaliers pour rejoindre les bords de Seine.  

Nous hésitons : on continue ou on arrête là ? Un coin de ciel bleu nous encourage à continuer au moins jusqu’à la porte de St Cloud.

Il faut parfois slalomer entre les poubelles et les amas de déchets suite à la grève des éboueurs. 

Arrivés porte de St Cloud, nous décidons de continuer, on ira jusqu’au bout !

Nous passons le long des installations du Stade Français. Le GR75 a été créé pour faire le tour de Paris (51 km). Il permet de passer par les nombreuses infrastructures où se dérouleront des épreuves sportives lors des prochains jeux olympiques de 2024. Pour en savoir plus , c’est ici.

Nous faisons  un arrêt, très attendu, dans un parc heureusement ouvert, avec toilettes.

Puis c’est le Parc des Princes, le stade du PSG. Nous ne manquons pas la photo de groupe devant l’entrée du stade.

Le stade Jean Bouin est dédié au rugby.

La piscine Molitor des années 30 a été restaurée et est devenue un hôtel de luxe.

Nous devions traverser les serres d’Auteuil, mais là encore nous trouvons les grilles fermées.

Nous les contournons en passant par la porte d’Auteuil. Nous devons traverser l’hippodrome d’Auteuil. Heureusement, il est ouvert.  On y accède par un tunnel.

C’est assez impressionnant de se retrouver au beau milieu des pistes de l’hippodrome, là où les chevaux sont lancés en pleine allure les jours de course.

Nous grimpons sur un petit monticule pour avoir une vue d’ensemble de l’hippodrome.

L’hippodrome d’Auteuil est dédié aux courses de saut d’obstacle. Nous pouvons nous approcher des haies et constater qu’elles sont faites de fagots en plastique.

A la sortie, une personne nous attend pour fermer les grilles derrière nous à cause du vent. Nous avons eu de la chance sur ce coup là.

Nous nous dirigeons vers les lacs du bois de Boulogne,

et trouvons un endroit abrité du vent avec un banc original en forme de fer à cheval où presque tout le monde arrive à s’assoir pour pique-niquer.

Nous repartons en longeons le lac Inférieur.

Une statue aperçue sur l’ile nous intrigue : il s’agit d’une œuvre de l’artiste suédois Gudmar Olovson intitulée L’Union de l’Homme avec la Nature et l’Amour – Les Deux Arbres.

Nous poursuivons la traversée du bois de Boulogne en suivant le chemin des ruisseaux et parvenons à la porte Maillot.

La promenade Bernard Lafay étant elle aussi fermée (décidément ce n’est pas notre jour), c’est par les rues de Neuilly que nous parvenons à Levallois.

Merci aux participants qui ont tenu bon malgré un départ difficile. La traversée de l’hippodrome d’Auteuil laissera au moins un bon souvenir.

Merci à Giselle pour ses photos, et à bientôt sur d’autres chemins.

Jean-Claude

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