Retour sur la rando du 6 juin 2023

Dans la forêt de Verrières

En ce jour de grève, par chance, le trafic des métros et RER n’est pas perturbé.
Nous sommes 19 participants et deux chiens (Nala et Joy) au départ de notre randonnée à la gare d’Antony.
Le temps est ensoleillé, et le restera toute la journée. L’ombre procurée par les arbres de la forêt de Verrières est la bienvenue.

Après avoir quitté la gare nous traversons la ville, pendant un bon kilomètre. Et nous rejoignons la Coulée Verte, au niveau de la place de Lexington avec son obélisque.

Il est à noter que, depuis cet obélisque jusqu’à l’entrée de la forêt, nous avions déjà emprunté le même chemin lors de la randonnée de Jean-Claude du 12 mai. Mais, à part l’animateur, peu de participants s’en sont vraiment aperçus.
Nous empruntons la Coulée Verte jusqu’au parc de la Noisette dans lequel nous pénétrons.

Dans le parc, coule le ruisseau des Godets qui marque la frontière entre les Hauts-de-Seine et l’Essonne.
Nous quittons cette zone boisée par un tunnel (merci à Jean-Claude qui me l’a fait découvrir). Encore quelques centaines de mètres pour atteindre un dernier carrefour et nous entrons enfin dans la forêt de Verrières.

La forêt de Verrières est située à environ 10 kilomètres au sud de Paris. Elle s’étend sur plus de 500 hectares. C’était le lieu de prédilection de Louis XIII et Louis XIV pour aller chasser.

Nous débutons notre parcours par la montée d’un escalier, suivie, en son sommet, par une pause.

Nous poursuivons en gravissant un petit sentier assez pentu, mais pas bien long.
L’animateur avait proposé, pour les moins vaillants, l’utilisation d’un chemin de contournement plus long mais moins pentu.

Mais tous les participants ont préféré la montée. Et nous nous sommes rassemblé en son extrémité.

Nous empruntons alors de larges allées, dont notamment la route de la Châtaigneraie qui, en son milieu, contourne la mare à Chalot (la légende veut que des chevreuils viennent s’y désaltérer, mais ce ne fut pas le cas lors de notre

Nous atteignons alors le carrefour de l’obélisque (plutôt une table en pierre avec des bancs) qui a été établi par Louis XIII.

Le carrefour de l’obélisque

Nous profitons d’un abri pour faire une petite pause et nous hydrater.

Nous quittons les grandes allées pour des sentiers parsemés de petits dénivelés.

L’heure du déjeuner est arrivée. Nous nous installons dans un vaste espace dégagé (avec un banc et des poubelles) dont, hélas, les tables ont été retirées.

Restaurés, nous reprenons notre route, en contournant par un étroit sentier, un vaste terrain militaire entouré de hauts murs avec des barbelés.


Arrivés au bout du sentier nous avons bien chaud. Mais Robert a apporté son brumisateur dont il a fait un usage répété pour le plaisir de tous.

Nous prenons ensuite des allées plus ou moins larges pour atteindre la sortie de la forêt.
Nala profite bien des quelques mares d’eau, ce qui n’est pas le cas pour Joy.

Nous prenons alors des allées piétonnes aux noms évocateurs (Renards, Saint Fiacre, Swanley) pour rejoindre la Coulée Verte, puis la gare RER d’Antony.
En chemin nous prenons notre photo de groupe.

Merci à tous les participants.
Merci à Gisèle, la photographe.

À bientôt, la saison prochaine, pour une autre randonnée.

François

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