Les parcs aux abords du Canal de l’Ourq
Pour la première randonnée de l’année 2025, le beau temps n’est pas au rendez-vous. Cependant 12 courageux sont prêts à affronter la pluie qui tombe dès la descente du RER.
Nous nous dirigeons vers le premier parc, celui des Sœurs, nous en faisons le tour.
Nous empruntons le passage souterrain pour traverser la voie ferrée et atteindre la berge du canal de l’Ourcq,
que nous suivons jusqu’à la passerelle de l’écluse Sevran.
Là nous traversons le canal pour aller jusqu’à l’écluse où se trouve l’entrée du parc forestier de la friche Kodak.
La friche Kodak : Occupée de 1925 à 1995 par la société Kodak, la friche éponyme se déploie sur 11,35 ha de nature enchâssée dans un territoire urbain, en plein cœur de Sevran. Après le démantèlement des bâtiments, de lourds travaux de dépollution des sols et des nappes sont engagés entre 2003 et 2012. C’est en 2006 que la Ville de Sevran acquiert le site pour y créer un parc urbain, projet impliquant le remodelage des sols et la naissance d’un paysage renouvelé. Ainsi voient le jour des espaces publics, particulièrement appréciés des habitants, qui contribuent à rétablir le dialogue avec la commune. Il faut dire que la friche est particulièrement bien située, au sein d’une zone pavillonnaire bénéficiant d’équipements publics (établissements scolaires) et non loin du plaisant canal de l’Ourcq. (Source Internet)
Nous entrons dans la friche, ce lieu rappelle des souvenirs à certains adhérents.
Une fois le tour fait, nous revenons au canal que nous longeons jusqu’au pont de la poudrerie.
Nous l’empruntons pour entrer dans le parc des Sablons. Dès l’entrée nous pouvons apercevoir le pas de tir, vestige de l’ancienne poudrerie impériale puis nationale de Sevran-Livry.
Elle fonctionna tout juste un siècle, de 1873 à 1973. Elle compta jusqu’à 3 300 ouvriers et produisit jusqu’à 28 tonnes de poudre par jour. (Source Wikipédia)
Par endroit le terrain est boueux et la pluie continue de tomber.
Maintenant nous nous dirigeons vers le parc de la Poudrerie.
Nous profitons d’un des vestiges pour nous abriter pour pique-niquer, il est à peine 12h00.
Le repas terminé nous repartons vers la gare de Vert-Galant, nous verrons en chemin d’autres constructions datant de la poudrerie.
A la gare la moitié du groupe décide de rentrer, les autres poursuivent vers Villeparisis. La pluie tombe toujours et est même un peu plus dense.
A la gare de Villeparisis, nous décidons d’arrêter la randonnée après 12 km au lieu des 20 prévus.
Merci à tou(te)s les participant(e)s pour leur courage et leur bonne humeur.
Merci à Gisèle et Eric pour leurs photos.
A bientôt sur d’autres chemins
Janine
On croit toujours que ça va se lever… Mais là, rien à faire, le ciel est resté « gris mouillé », voire trempé. L’attention portée sur nos chaussures et les flaques d’eau, nous avons patiné dans la boue et n’avons relevé la tête que pour fixer notre regard sur le sur-sac jaune ou orange fluo de la personne nous précédant. Je suis très admirative des photographes du jour, qui ont pris conscience de l’environnement. Je dois avouer que seul m’intéressait le degré de saturation en eau de mes vêtements. Je garderais le souvenir de l’implication toute professionnelle de Janine qui a mené cette rando le plus loin possible.
Franchement, je vous dis un grand BRAVO et vous tire mon chapeau (de pluie) pour ne pas avoir renoncé à aller randonner et pour avoir bravé cette météo catastrophique dont les prévisions se sont avérées plus qu’exactes !
Pour ma part, après avoir longuement réfléchi, j’ai abandonné cette idée et délaissé les chemins boueux sous la pluie par la même occasion …et j’ai aussi assumé son impact sur mon taux d’assiduité déjà en berne juste après avoir pris les bonnes résolutions de début d’année !
A toutes et tous, j’adresse tous mes meilleurs vœux de bonheur et de santé pour une très bonne année 2025 et de belles aventures sur des chemins, on l’espère, un peu moins boueux …
A la prochaine !
Bernadette
Nous avons gardé notre bonne humeur habituelle.
Nous étions contents tout de même de rentrer de bonne heure au chaud
Merci Janine