Coteaux de Seine et vallée de la Montcient autour de Meulan.
Nous sommes 16 à quitter la gare de Meulan ce dimanche matin, avec au programme une météo et un parcours variés.
Après la première montée vers l’église St-Nicolas de Meulan, une première petite pluie nous rattrape. Il y en aura d’autres dans la matinée, mais pas de quoi nous impressionner…
Puis descente et nouvelle montée pour sortir de l’agglomération et arriver aux Gaudimonts, dont on nous dit qu’il furent au départ un relais de chasse le long de la « chaussée Brunehaut »
Nous voilà peu après sur le plateau, « porte d’entrée du Vexin », et nous descendons vers Gaillon et la vallée de la Montcient.
Petite pause devant l’église Notre-Dame de l’assomption et nouvelle montée jusqu’à la sortie de Gaillon.
Nous longeons par un joli sentier en surplomb la vallée de la Montcient, où la zone humide de la mare Baron a été aménagée en golf… bien désert ce dimanche.
Nous franchissons la Montcient et nouvelle montée sur la côte de Néréval.
Plus haut, une petite aire de repos a été aménagée, mais la chaise semble bien fragile…
Les éclaircies arrivent enfin, et le soleil est là quand nous retrouvons la Montcient à Oinville.
Nous montons ensuite jusqu’au Moulin Brûlé
Il est alors temps de faire la pause pique-nique, bien installés le dos au soleil…
Notre chemin prend désormais la direction du sud entre champs et parties boisées, et après une courte pause photo, nous parcourons les derniers kilomètres jusqu’à Juziers.
Après avoir admiré les parterres fleuris de la mairie, nous laissons à la gare 3 randonneuses optant pour la version « 16 km » et nous atteignons rapidement les rives de la Seine.
Une petite heure encore, sur la chemin de halage, entre imposantes villas en retrait de la berge, et « cabanons » sur les îles désormais réunies (île de Juziers, île verte, île de Mézy, île Belle) et nous arrivons à Hardricourt.
Villa « pieds dans l’eau » lors de la crue de 1910
Nous contournons la chocolaterie Barry-Callebaut, fondée en 1842 par Monsieur Barry. Pas de visite aujourd’hui, nous n’aurons que les parfums de cacao… Et nous montons vers la gare, terme de cette jolie boucle.
Merci à Bernadette, Gisèle et Thomas pour les photos
Eric
Quand les giboulées de mars se sont invitées les jours précédents la randonnée dominicale, les chemins s’annoncent boueux mais pas de quoi décourager des randonneur(euse)s motivé(e)s …pas plus d’ailleurs que les marches à grimper ni les petits dénivelés en haut desquels, au milieu des champs, de belles vues s’offrent sur des paysages plutôt urbains mais magnifiques !
Un joli parcours, sur lequel flottait, en effet, un petit avant goût du printemps, parsemé de jonquilles et de jacinthes aux multiples couleurs, avec en alternance des chemins étroits et des larges sentiers, des champs à perte de vue, des petites cascades inattendues au détour d’un coin de rue, et pour terminer en beauté une île aux superbes maisons agrémentées de belles terrasses sur les bords de Seine qui ne peuvent que faire rêver !
Merci Eric pour ce dimanche dans un joli coin de campagne en bord de Seine qui a fait resurgir de mes souvenirs l’odeur de cacao qui se dégageait de la chocolaterie Poulain, certains dimanches de mon enfance lors des balades en bord de Loire …quel bonheur !
A la prochaine …
Bernadette
A la demande générale, je vais dévoiler la recette du fondant marron-chocolat dans la rubrique « recettes »
Fondant chocolat-marron
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100 g de beurre 1/2 sel
120 g de chocolat noir fondant
→fondre ensemble brûlure et chocolat dans une casserole feu doux
500 g de crème de marrons de l’Ardèche Clément Faugier
2 ou 3 oeufs entiers
1 cuillèrée à soupe de farine.
Bien mélanger le tout, en ajoutant les oeufs l’un après l’autre et la cuillérée de farine en dernier. On peut ajouter un peu de levure chimique
Verser dans un moule à cake beurré
Cuisson 25 mn au four à 180°.
Vérifier la cuisson en piquant le cake avec un petit couteau. Il doit ressortir un peu crémeux.
Et ensuite allez marcher pour digérer
Merci Sylvie pour cette recette …et comme je n’étais pas présente lors de la première dégustation, n’hésite à la tester à nouveau la veille d’une prochaine rando !
Bernadette
Joli parcours un peu humide, tout en douceurs, montées et descentes, histoire de ne pas céder à la monotonie. On sent le printemps tout proche. Le brumisateur, bien présent le matin, s’est dissipé dès le déjeuner. Nous nous sommes séchés, dos au soleil, assis sur un talus adapté aux différentes longueurs de jambes. Merci qui? Merci Président !